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La Suisse est un pays neutre. Depuis cinq siècles, les Suisses se sont généralement abstenus de s’impliquer directement dans des conflits armés, signant des traités et des conventions…
Au bout de 3 jours de débats intenses, les 14 linguistes suisses quittent la salle dépités. Alors que le symposium s’annonçait bon enfant, le Dr Calembert ne put…
Je ne sais plus qui je suis; je ne sais plus où aller. Bourbine or not Bourbine?
24 mars 1999. L’OTAN commence son « opération force alliée » et bombarde la Yougoslavie de l’époque, c’est-à-dire la Serbie et le Kosovo d’aujourd’hui. Toutes les télévisions du monde étaient…
« En 35 ans de carrière, j’ai jamais vu des parties aussi nulles! » (Bouchon, pilier ailier-droit au bar La Croix Blanche)
Les médias aiment bien naviguer dans l’aquarium du Peuple. Ils vont l’interroger dans la rue, lui demandent ce qu’il pense du dernier IPhone ou de la situation en Syrie, moyennant parfois une récompense comme un bon de 100.– auprès d’une grande enseigne quelconque. Le Peuple apparaît ainsi sous la forme « d’opinion publique. » Ce n’est pas tout le monde, mais ce serait la majorité.
Armés d’un fusil d’assaut – plus communément appelé « Fass 90 » (fass nonante) – et de tout un attirail de survie (chocolat suisse, couteau suisse, biscuits militaires, gourde au contenu confidentiel…), ces jeunes gens montent dans des trains et se fondent dans la masse des civils qui s’en vont travailler ou passer une journée merveilleuse au Technorama de Winterthur avec Kaïla et Yoamaëlle, leurs enfants de respectivement 7 et 9 ans.
Le soleil tape très fort sur Dali, exquise bourgade de 600’000 âmes installées au beau milieu des montagnes du Yunnan, province touristique de Chine. Assis à la seule…
Au fond, les principaux concernés sont les fruits secs, mais les fruits secs ne parlent pas.
Inutile de ressortir les livres d’histoire, ni même de survoler la page Wikipédia pour secouer des esprits en pleine léthargie ; le nom ne va pas changer, car ni les organisateurs, ni les institutions, ni les médias, ni les Fribourgeois n’y voient un mal. Ben oui, c’est du second degré.