Après la fin des restrictions sanitaires, le début de pénuries d’énergies. À l’automne 2022, les médias prédisaient un hiver dans l’obscurité, coupures de courants à la clé. Au même moment, on m’a demandé de réaliser un dessin sur l' »Homo digitalis » (l’Homme digital), en écho à un colloque éponyme sur le rôle du numérique dans l’enseignement des langues étrangères. Je me disais à ce moment-là que l’homo digitalis avait meilleur temps de ressortir ses bons vieux outils analogiques.

Au tableau, il est écrit « l’allemand sans courant ».

J’avais soumis deux autres croquis qui n’avaient pas de lien avec l’actualité du moment. Et je suis content qu’ils n’aient pas été choisis, mais vu que je suis sympa, je vous les montre quand même.

Lost in translation…
Sur le chemin électifié de l’école