Dans le numéro 2021/2 de Babylonia, les éditeurs et trices se sont penchés sur une question fondamentale: quelle est la prise en compte des élèves à besoins spécifiques dans l’enseignement d’une langue étrangère ou seconde? Connaissant le penchant hautement plurilingue de ma revue préférée, j’ai imaginé un pauvre enfant souffrant d’un trop plein de langues premières ou secondes dans sa tête.
Ci-dessous, un croquis alternatif. Je suis bien content que nous ne l’ayons pas retenu, mais vu que je suis sympa, je vous le montre quand même.
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